
Rien de plus simple que de se laisser aller. Se laisser emporter par les vagues comme une plume qui finit son jeu avec le vent en plein océan. Ne penser à rien. Eviter les maux de tête quotidiens. Les questions-réponses et les questions sans réponses. Se soustraire des contraintes du système. Adopter un nouveau profil ; regarder autrement les gens et les choses. Un programme. Un système qui suppose des structures et des structures qui appellent un système. Mais le tout doit se faire à l'ombre d'une idée claire et diaphane : avoir la paix. Rien que de prononcer ces trois petits et jolis mots, je vois se former dans ma tête une rébellion, une mutinerie, une révolution de vielles idées et de vielles habitudes. Oui, tel un vigneron je dois me mettre à arracher les mauvaises herbes, procéder à une taille rigoureuse et bien accrocher les sarments aux pergolas.
Là encore, j'aime beaucoup. Magnifique... :-)
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