mercredi 26 août 2009

Musique

Douce le matin, rythmée au déjeuner et techno dans la soirée... La musique : c'est comme on veut, quand on veut !

3 commentaires:

  1. "On vend la musique comme on vend le savon à barbe. Le progrès, c'est la culture en pilules. Pour que le désespoir même se vende, il ne reste qu'à en trouver la formule. Tout est prêt: les capitaux, la publicité, la clientèle. Qui donc inventera le désespoir?"

    je te laisse deviner (celui qui vendra le desespoir)

    RépondreSupprimer
  2. @Voltairien:
    Je pense que c'est Léo férré qui a chanté les mots que tu viens de m'envoyer; quant à celui qui vendra le désespoir, pourquoi utiliser le futur?
    le désespoir se vend déjà à Carrefour et à Géant, j'en ai rempli un caddy la veille du ramadan en compagnie de ma femme!
    :))

    RépondreSupprimer
  3. et si tu as des Ados à la maison, la musique devient imposée :)

    RépondreSupprimer