
Photo d'Edward Weston
Elle n’a jamais pu ôter de son esprit l’histoire de cet homme qui est parti chercher très loin des allumettes. C’est son cauchemar. Pour calmer son cœur, elle se met chaque soir à la fenêtre qui donne sur la rue, le cou tordu et les yeux au bord des larmes, à dévisager les passants dans le feu de l’attente.
C'est un plaisir que de vous lire
RépondreSupprimerMerci Jalel. C'est un plaisir d'avoir un commentaire venant de vous sur mon humble blog.
RépondreSupprimerVotre texte est dramatiquement somptueux.
RépondreSupprimer(Elle a quand même raison : faut toujours vivre toutes fenêtres ouvertes...)
un vieux dicton bien de chez nous
RépondreSupprimer"vaut mieux attendre qu'espèrer" ...
"Elli yestanna khir melli yetmanna" !
@ Chr. Borhen: oui surtout par ces temps qui courent! Merci pour le passage.
RépondreSupprimer@Zahraten: oui je n'en doute pas un seul instant.
je viens de découvrir votre blog ! c fabuleux ces lignes cachent une grande sensibilité et un gout très raffiné..suis touchée par vos mots en vivant avec elle le plaisir et la douleur d attente..mes respects monsieur..
RépondreSupprimer@ Violette: merci pour le passage.
RépondreSupprimerAmitiés,
Sleemane