
J’attends depuis longtemps. Chaque jour je prends place à la terrasse de ce café en attendant ton passage. Tu ne passes pas. Il n’ya pas de rendez-vous entre nous. En vérité je ne te connais pas. Tu ne me connais pas non plus. Je ne connais rien de toi. Pour être franc, parce que je suis fou, j’attends une émotion, un étourdissement, un souffle coupé…Un jour de décembre tu es passée devant moi, alors subitement une photographie de toi s’est révélée dans ma mémoire. Depuis cet instant là je cherche à revoir ton visage, ton corps, tes jolies chaussures et ton parapluie.
sourire... Merci de ce délicieux instant, tout simplement.
RépondreSupprimerdélicieuse attente !!! et même si elle ne passera pas, sa photographie s'est déjà fixée dans ta mémoire
RépondreSupprimerJ'adore aussi, "bien évidemment"... Ainsi, comment ne pas songer aux "Passantes" de Monsieur Brassens, par exemple ?
RépondreSupprimerCela dit, il y a de très charmants "passants", "mêmement"... Sauf que, souvent, eux, au moins ils s'arrêtent !
@Lioubov Dormeur:c'est une affaire de testostérones "bien évidemment".
RépondreSupprimerAmitiés.
Sleemane